Chapitre : Wish n°4

Wish n°4 : Traumatisassions

Lorsque Primo arriva à la mansion il ne jeta pas un seul coup d'œil à ces gardiens et il se précipita dans la direction de sa chambre. Une fois arriver dans sa chambre il posa délicatement le petit brunet dans son lit, il enleva doucement le t-shirt pour ne pas le réveiller et fit une grimace lorsqu'il avait vu le torse de l'enfant.

Des coupures, des marques de fouet, des plaies à peine guérit entouré tout le haut de son corps. Priant pour que ce ne soit pas pareil pour le bas à peine cacher, il enleva le short et lorsqu'il vit quelques petites coupures il soupira de soulagement mais après quelques secondes il fronça les sourcils. « Qui ferait une telle chose cruelle à un enfant de quatre ans ? » se demanda-t-il.

Il enleva la cape et couvrit le corps entier du jeune brun1, il le prit dans ces bras et le ramena dans la direction de l'infirmerie. « Si je ne me trompe pas Knuckle devrait être là-bas ! » lorsqu'il marchait dans les couloirs tous les majordomes et femmes de ménage se demandaient si le gamin endormit dans les bras de leurs Boss en étant couvert par sa cape était son fils. Primo ne s'inquiéter pas des regards qu'il recevait même si au fond de lui il était gêné des regards surpris que les gens donnent à l'enfant.

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Pendant ce temps avec notre Tsuna endormie comme la belle au bois dormant. « Qu'est-ce que c'est ? Ces si chaleureux et protecteurs ! Ah, c'est la même chaleur qu'okaa-chan. » Tsuna s'endormit en ayant l'image d'un homme qu'avait la même forme de cheveux que lui. Il se blottit plus pour avoir la chaleur et il fronça les sourcils lorsque la chaleur alors qu'il se blottissait pour en avoir plus eu disparu et remplacé par une chaleur normale.

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Giotto venait d'arriver à l'infirmerie et chercha du regard un signe de présence de son gardien du soleil. Lorsqu'il vit Knuckle revenir avec une boîte remplie de médicament il se dirigea vers lui. « Knuckle ! » Le gardien du soleil se retourna pour faire face à Giotto et lui sourit. « Giotto qu'est-ce qui te ramène ici ? » demanda-t-il.

Giotto baissa la tête vers le brunet et répondit. « Il a plusieurs blessures qui donne signes de tortures. Je voudrais que tu les vérifies s'il te plaît ! » Knuckle hocha la tête. « On va le poser dans un lit dans ce cas. » Knuckle et Giotto se dirigèrent vers une salle qui était à côté. « Après la vérification j'irais chercher quelques vêtements pour lui. » Disa Giotto pendant qu'il s'approchait du lit. « En vas vérifier sa taille dans ce cas à l'extrême. »

Giotto allait poser Tsuna dans le lit lorsque soudain Tsuna se blottit encore plus dans son torse, Giotto eut un regard ébahi pendant que Knuckle donna un petit rire. « On dirait qu'il est déjà attaché à vous ! » Giotto fixa l'enfant toujours dans le choc de ce que Knuckle vient de dire. ''Comment il peut être déjà attaché à moi ? Il ne m'a même pas encore parlé ou regarder, tout ce qu'il a fait ces dormir.'' Se demandait dans ces penser Giotto. « Knuckle désolé, mais… tu peux m'aider. Il est attaché à moi comme une colle ! » Knuckle riait pendant qu'il aider son chère Boss à se séparer de l'enfant qui ne voulait pas.

Une fois qu'ils ont réussi à séparer Giotto et le petit brunet ils le posèrent dans le lit et Knuckle commença à examiner ces blessures tout en grimaçant. Une fois cela fini, il regarda Giotto avec des yeux sérieux. « Je ne sais pas qui lui a fait cela mais… cette personne a dû être un monstre ! » Giotto avait un regard rempli de pitié. « Je me suis dit la même chose… » C'était comme un chuchotement mais Knuckle as pu entendre.

« Tu savais pour les poisons que son corps est en train de lutter pour survivre ? » questionna-t-il. Giotto se leva de la chaise dont il était assis et lui regarda d'un air incrédule. « Non ! Je ne savais même pas qu'il était empoisonné ! » Répondit Giotto, il se sentait en colère contre les personnes qui ont fait cela au pauvre enfant qui se trouvait dans le lit.

« Je dois dire que je suis étonné par ce gamin… » Knuckle disa cela avec un air pensif. « Comment cela ? » Knuckle bougeait les membres du brunet. « Eh bien, la plupart des poisons sont mortels ! Ces encore un miracle qu'il puisse y survivre juste en haletant de temps en temps ! »

« Sais-tu quel genre de poison il a dans son corps . » Knuckle secoua la tête. « Pour le savoir il faudra attendre encore quelques heures pour le diagnostic se termine. J'ai juste pus savoir qu'il avait du poison à cause des globules2 qu'il avait dans son sang. Il a une forme mais… »

« Mais ? » incita Giotto pour que Knuckle continue sa phrase. « Il faudra faire une dissection3… » Les yeux de Giotto élargie et avant qu'il puisse répondre Knuckle prirent la parole. « Je sais qu'est-ce que tu vas dire et moi non plus je ne veux pas utiliser cette manière ! Maintenant rassit toi je pense que tu es assez curieux de savoir qu'elles sont les poisons qu'il a dans son corps. Mais il faudra attendre, jusqu'à la allée à l'extrême chercher des vêtements pour le pauvre enfant. »

Giotto se rassit et se fit aussi calme qu'il le pouvait, dès qu'il fut assez calme il parla. « Merci Knuckle je ne sais pas qu'est-ce qu'on serrait sans toi ! » remercia-t-il. « Ne me remercie pas ! C'est un don de Dieu s'il peut vivre avec tout cela. » Fit comme remarque Knuckle. Giotto se leva en disant qu'il allait chercher des vêtements alors que Knuckle restait auprès de l'enfant en attendant que le diagnostic se termine.

Lorsque Giotto partit il pouvait entendre derrière la porte la voix de Knuckle en train de prier tout en faisant des commentaires à propos de l'enfant. Puis il se rappela de la conversation que lui et ces gardiens eurent dans le carrosse…

/ Après que Giotto termine de dire comment il a trouvé l'enfant G prit la parole pour couper le silence qu'il a eu. « Donc en tout… Ton hyper intuition a dit de revenir, tu la suivis, tu t'es retrouvé en face d'une maison en ruine et tu as commencé à enlever les pierres et bois. Lorsque tu as réussi à enlever assez pour voir de l'intérieur tu as entendu le gamin appeler de l'aide et lorsque tu l'as pris dans tes bras il s'est évanouie. » Résuma G.

Giotto juste hocha la tête. « Vous ne pensez pas que le petit ressemble à Giotto-San ? » remarqua Asari. Tout le monde se mit à fixer l'enfant et dut avouer qu'Asari avait raison, G prit l'enfant et le plaça à côté de Giotto, visage près visage. « Dieu Saint-Esprit… » Murmura-t-il calmement. ''Le calme avant la tempête…' pensa tous sauf G, sachant qu'il ira exploser.

« ON DIRAIT VRAIMENT TOI ! TU AS FAIT QUOI ? EST-CE POUR CELA QUE T'ECHAPPER DE LA PAPERASSERIE . TU AS UNE FEMME SANS ME LE DIRE . » Tous eurent une goutte de sueur, G allait dire plus mais il se mit en silence lorsqu'il ait le regard paisible que le visage de l'enfant endormie donner, une respiration calme et étonnamment tout le monde calma les mauvais sentiments qu'ils avaient, ils oublièrent tous à propos de la mafia.

« Bah… Te connaissant ne je ne suis sûr qu'aussi idiot, gamin, immature, irresponsable… » Pour Giotto à l'intérieur toutes les critiques que G disait étaient des flèches qui transperçait sa poitrine mais il restait toujours avec un visage calme, même si à l'intérieur il boudait blesser par les propos de son bras droit et ami d'enfance lui disait. « … Et tant d'autres… J'en suis sûr que tu as au moins un cerveau qui fonctionne qui ne te fera pas faire une bêtise aussi grande comme avoir un enfant son se marier. » Dit-il avec un petit sourire.

« Merci G, de ta part sa veux dire beaucoup de choses… » Remercia Giotto avec un sourire. Asari rit, « Mama G est en train de compliment en quelque sorte papa Giotto. » Tout le monde le regarda comme s'il était un aliène. « J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? » interrogea-t-il. « Sérieusement… Mama G et Papa Giotto ? » Demanda G d'un ton amer.

« Nufufufu… en quelque sorte ils ressemblent à un vieux couple marier je dois l'admettre… » Avoua Daemon, « Ore-sama pensé cela aussi ! » « On dirait à l'extrême ! Voudriez-vous vous marier . » « Hn. » fut la réponse des autres gardiens qui avaient un ton amuser dans leurs voix sauf Alaude qui lui avait dans son regard.

Giotto soupira. Les autres gardiens lui regardèrent avec un regard interrogateur. « Tout le monde je… » Commença-t-il. « J'espère que tu vas pas me marier ! » commenta G. « JE NE SUIS PAS GAY DIEU MERCI G ! » cria Giotto embarrassé par le commentaire de son bras droit. « Herbivore laisse l'autre parler où je vais te menotter à mort. » Alaude sortit de suite des menottes en signe qu'il le fera vraiment.

G se tut et fit un grognement. « Merci Alaude ! » « Hn. Maintenant continue. » Demanda ou plutôt ordonna Alaude. « Tout le monde je me demande si je pourrais l'adopter… »

Blanc. Silence de Mort. Un ange passa. Les quatre stations firent irruption. Un blizzard apparut. Le dieu de la mort coupa le silence de mort et partit. Jusqu'à…

« ? » fut l'action de tout le monde sauf Alaude qui avait les yeux grands ouverts. Giotto frottait ces oreilles endolories. « Aouh… ça fait mal ça… » G reprit de son choc « Giotto as quoi tu penses . » Giotto cligna des yeux et remit son poker-face « N'est-ce pas évident ? » G allait rétorquer lorsque Asari mit une main dans son épaule pour l'arrêter. « Je pense que Giotto a une bonne raison pour cela G. de plus ne te rappelles-tu pas de la dernière nuit si étoiler ? »

G ne trouvant pas d'autres mots répondit. « Giotto… Ne va pas aussi vite comme ça ! Apprends plus à le connaître et lorsque se sera fait laisse-moi être le premier à le savoir et je donnerais l'autorisation et ainsi tu pourras signer des tas de paperasses pour avoir lui comme enfant ! » Giotto donna un sourire diverti. « Oui maman ! » dit-il.

G eut une énorme veine qui est apparu et il rugit : « JE NE SUIS PAS TA MERE GIOTTO ! » Et ces ainsi que le voyage continua tout en taquinant les uns et les autres. Après tout…\

''… On n'est pas une famille de la Vongola pour rien !'' Pensa Giotto alors qu'il marchait dans les couloirs.

~ (Désolé mais je ne savais plus quoi mettre pour dire que Giotto est allé chercher des vêtements pour Tsuna ! Perdonnami per favor !)

Dans le bureau de Giotto :

« Giotto… avec ce que je vais te dire… Je veux que tu restes calme. » Knuckle dit cela avec un ton sérieux et à la fois suppliant. Giotto sachant que cela allait être sérieux il fit signe de tête. Knuckle prit une inspiration avant de commencer. « Comme tu le sais déjà, j'ai dû attendre la fin des diagnostics pour savoir quels sont les poisons de l'enfant, qui sont tous mortels, c'est un grand miracle qu'il peut survivre cela avec juste une fièvre. »

La salle se remplit d'air de préoccupation, Giotto fronça les sourcils tout en restant calme, Knuckle continua. « Je ne sais pas comment mais… la personne qui lui a fait sa ont utilisé les poisons suivants… » Knuckle prit un papier qu'il avait dans sa poche et commença à le lire. « La plupart ce sont des animaux venimeux comme : Vipera ammodytes, Agkistrodon halys, Vipera ursinii… Puis ceux qui viennent de plantes : l'aconit… » Tout qui entendirent cela fronça les sourcils, ils savaient que cette plante était considéré comme la plus dangereuse de l'Europe.

« … la ciguë, elle peut paralyser le système respiratoire, sans oublier qu'elle peut attaquer le système nerveux ce qui peut lui produire des tremblements et aussi la perte de l'orientation. » Lampo leva la main. « Comment le gamin a pu s'en sortir vivant alors que pour l'instant il n'y a que des poisons mortels ? » Knuckle baissa la tête. « Je ne sais pas… »

« Nufufufu… ne faudra-t-il pas le disséquer pour savoir ? » demanda Daemon. « NON ! » cria Giotto en frappant son bureau avec sa main. Tout le monde se tourna vers lui. « Je n'autoriserais jamais cela. On le saura lorsqu'il se réveillera et… s'il pourra répondre bien sûr. »

« Ce ne sera pas étonnant s'il ne pourra pas parler, faudra juste poursuivre des recherches des gens qui lui ont fait cela ! » répondit Alaude. « C'est la meilleure option ! » admis Giotto. « Continue Knuckle s'il te plaît… » Knuckle continua.

« J'ai trouvé aussi de la datura, celle-ci est possible de ne pas être mortel même si on l'appelle plante du diable. Même si celle-là était une petite dose il a reçu celui du poisson Pusher Fish, il a reçu une morsure d'une Phoneutria mais heureusement un bébé sinon il aurait pu en mourir… » « Avec tout ce que tu as dit-il serrait déjà mort en même pas une seconde ! » Fit comme remarque Daemon.

Knuckle continua sans faire attention au commentaire de Daemon sachant que cela est vrai. « Il a eu le poison du Stonefish mais a été guéri de suite pareil pour la boîte méduse et l'escargot marbre de cône… c'est comme s'il était un cobaye. De plus, la plupart ont était guérit après quelques instants alors que pourtant il n'existe pas vraiment d'antidote… à part pour la méduse… »

« J'ai pitié de cet enfant. » déclara G. Même s'il n'avait pas eu de réponses mais un silence, il savait que tout le monde n'était du même avis que lui. Il pouvait même voir l'aura noire criant l'homicide qui venait vers la direction de Giotto. Tout le monde savait que normalement son aura n'est pas comme ça, c'était leurs premières fois qu'ils le voient ainsi et tous les occupants de la pièce avaient la même penser.

''Ils sont tous morts !'' Bien sûr celle de Giotto était différente de la raison de ces gardiens eux ils avaient presque pitié de ceux qui subirent le sort du crime que le sera allée faire. « Nufufufu… je me demande vraiment qui lui a fait cela ! Même moi qui suis sadique doit avouer que je lui donne chapeau. » Tous le regardèrent et allèrent dire quelque chose lorsqu'ils firent couper par un…

« ! »

Un cri.

Tout le monde se précipita vers la direction du cri et fut inquiet lorsqu'ils se trouvèrent devant la porte de la salle où l'enfant devait être en train de dormir. Giotto ouvrit la porte et fut inquiet lorsqu'il vit l'enfant suspendu dans une lampe accrocher au plafond. Giotto s'avança doucement et leva la main vers le brunet comme s'il était un animal. ''Il pense quoi que c'est animal ? Il veut l'adoucir ?'' C'est ce que pensaient les gardiens face à leurs Boss.

« Tout ira bien ! On ne veut pas te faire du mal ! » Giotto disait cela avec une voix rassurante. En fait, il savait que quelque chose comme ça allait arriver dès qu'il voyait les blessures et entendu les poisons qu'il avait reçus. Il avait vraiment pitié pour cet enfant qui a dû subir cela à un si jeune âge, et était d'une grande colère noire face aux personnes qui ont fait cela.

« Non ! Je ne vous crois pas ! Laissez-moi tranquilles ! » Cria l'enfant. Giotto fit signe à ces gardiens de sortir. « He will not be so afraid if there fewer people.» Dit en anglais Giotto pour faire comprendre à ces gardiens. Ces gardiens qui comprirent le message sortirent de la salle en fermant la porte. Giotto s'assit sur le sol.

Ils restèrent comme sa pendant des minutes. « Tu peux descendre je te ferrais pas de mal ! » déclara Giotto. L'enfant ne répond dit pas mais descendit en sautant, atterrit dans le lit et alla dans la partie du lit la plus éloigner de Giotto. ''Au moins c'est un bon début…'' pensa Giotto pour se rassurer. Et ils restèrent comme sa pendant des minutes. Giotto vu par la fenêtre il vit que c'était déjà la nuit, il regarda sa montre et vu que c'était bientôt l'heure pour le dîner.

« N'as-tu pas faim ? » Demanda Giotto en essayant de démarrer une conversation. « Non… » Et un bruit fit irruption en faisant rougir l'enfant. Giotto donna un petit rire, « ce n'est pas ce que ton estomac me dit ! » Dit-il d'un ton amusé.

L'enfant le regarda et ne répondit pas, il commença à observer le ciel. Giotto fronça les sourcils, ce n'était pas ce qu'il avait prévu, mais ensuite il radoucit son visage, il comprenait car après tout l'enfant a été plus traumatiser presque vers la folie s'il pouvait le rajouter voir la façon dont l'enfant à sauter. Un autre bruit.

« T'en est sûr que tu veux pas manger ? Ça serrait mal pour ta propre santé si tu ne manges pas ! » Dit-il avec de l'inquiétude dans sa voix. L'enfant ne le regarda toujours pas mais parla. « Monsieur, puis-je savoir depuis quand vous vous soucier de ma santé ? » Giotto fronça les sourcils, cette question venait de donner une autre réponse cachée. ''Est-ce que se serrait… Vous ne m'aviez jamais vraiment nourri donc pourquoi maintenant ?''

« Donc tu ne viendras pas avec moi manger ? » redemanda-t-il. L'enfant ne lui donna aucune réponse, soupirant Giotto se leva, ouvrit la porte et se retourna. « Je reviendrais avec de la nourriture… » Silence. Il quitta tout en fermant la porte et se dirigea vers la salle où le dîner aura lieu. Il ouvrit la porte et donna un petit sourire triste à ces gardiens. « Alors ? » demanda G.

« On a un peu parlé… » Répondit-il nerveusement. « À propos ? » questionna Alaude. « S'il avait faim… » Giotto s'assit et soupira dé d'exaspération. Il demanda as un cuisinier de faire de la nourriture pour enfants et le lui rendre dans un plateau, lorsque le cuisinier partit Lampo prit la parole. « Ore-sama pensait qu'il n'avait pas faim ? »Giotto reprit le tableau avec la nourriture. « Il avait faim, mais n'a pas voulu venir… Il n'a pas confiance en moi ! » Giotto se leva et partit pour aller nourrir l'enfant.

Lorsque Giotto avait sorti pour aller chercher de la nourriture, Tsuna regarda la porte et soupira de soulagement. Il n'aimait pas d'être le centre d'attention de tout le monde comme ça. Il avait faim oui, mais il avait peur de ce que Giotto lui fera, il espérer juste qu'il ne soit pas toucher. Tsuna entendit des ne pas venir vers la chambre, la porte s'ouvra en laissant passer l'odeur de la nourriture et Giotto rentra.

« Je t'ai rapporté de quoi manger ! » Dit-il en souriant, Tsuna regarda la nourriture en fronçant les sourcils, il n'avait pas confiance en lui malgré son intuition lui dire le contraire. « J'ai pensé que j'avais dit que je voulais pas. » Giotto posa le tableau dans le lit tout en faisant attention pour que rien ne tombe. « Eh bien moi je pensais que c'était de sortir d'ici et manger ! » Giotto s'assit dans une chaise et le regarda. « Et il faut que tu manges. »

« Et qui a dit que vous n'avait pas mis quelque chose pour me faire du mal ? » Giotto fronça les sourcils dans son intérieur et dans l'extérieur avait son poker-face. L'enfant disait cela comme un adulte et cela l'inquiétait. ''Jusqu'où ils lui ont fait de la torture ?'' « Une t'inquiète pas, je ne vais pas te faire du mal il me semble de t'avoir déjà dit. »

Tsuna regardait la nourriture et s'approcha d'elle, il prit une fourchette et mangea. ''On dirait qu'il mange tout en regardant si les empoisonner ou pas.'' Pensa Giotto alors qu'il regardait Tsuna manger jusqu'à ce qu'il pose la fourchette et se rédigera vers la fenêtre. « J'aime pas les brocolis et le chou-fleur ! » Giotto leva un sourcil et remarqua qu'il ne restait que ces légumes. Il se leva pris le plateau et sortit.
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1/ Comme les gardiens ne savent pas que l'enfant est Tsuna, lorsque ces l'histoire sa serra : gamin, enfant, herbivore, brunet etc... Mais lors ces avec Tsuna bah sa serra soit Tsuna soit d'autres choses que vous verrait.
2/ Je ne sait pas si ces vraiment comme sa puisque j'ai pas vraiment trouver de sites pour m'aider - Mais je pense que lorsque on tire le sang d'une personne il y as d'autres globules, du moins comme sa pour moi ces logique. Puisque lorsque je suis aller à l'hopital on ma tirer du sang. Et pour les autres effets médicaux que j'ai écrit, je l'ai plus aus moins dit comme je pense que sa l'ait vu que je suis déjà aller dans des hopitaux pour plusieurs raisons.
3/ Si ma mémoire est bonne et les livres en raisons... en Italie il en laisser de faire les dissections vers les environs de 1543 !
4/Tout ces poisons et animaux existent vraiment... Et lorsque je dit qu'il n'y as vraiment pas d'antidote ces la vérité j'ai fait des recherches. Alors imaginer au XVIème siècle lorsque la médicine n'était pas si avancer que nous aujourd'hui... Mais s'il vous plaît négliger ces parties car je vais faire du hors-sujet et mettre des choses de notre temps dans la Vongola puisque ces une mafia.