Chapitre : Wish n°6

Wish n°6 : Pour apprendre à ce connaitre !

Tsuna était déjà endormie en train de rêver, ou plutôt… se rappeler de quelque chose qu'il ne voulait pas.

/Toute la salle était remplie de noir, Tsuna criait de douleur et du désespoir, il bougeait de tous les côtés comme si ça soulagerait la douleur. « Ai… Aidez-moi… Arr… Arrêter… » Tsuna priait sans cesse la même chose, que ce cauchemar s'arrête et que lorsqu'il se réveillerait il serra dans sa chambre et sa mère en train de lui sourire. Il entendit des voix… « C'est quelque chose qu'un humain normal pourrait pas survivre… » C'était la voix d'un homme, « Je te rappelle qu'il est - tout est dans le -. » Disait une autre voix d'une femme. « Démarrer le prochain processus ! » Une voix plus grave ordonna. Et la douleur augmenta. « ARRÊTER ! QUELQU'UN… QUELQU'UN AIDEZ-MOI ! » Pleurait-il…\

Tsuna se réveilla en sursaut et en sueur. ''Non… Je ne veux pas me rappeler…'' Il regarda par la fenêtre et voyait juste le ciel bleu nuit avec quelques nuages foncés dû au manque de lumière. Il sortit de son lit et se dirigea vers la porte et se rappela qu'il ne pouvait pas sortir de la chambre, soupirant il s'assit sur une chaise qui se situer devant la fenêtre et recommença à faire ce qu'il faisait d'habitude. Regarder le ciel.

Giotto était dans l'infirmerie en laisse Knuckle tiré son sang. ''Pourquoi faisant cela déjà ? Ah oui c'est vrai pour que Knuckle arrête de se douter.'' Knuckle mit le sang de la seringue dans une petite boîte en verre et le mit auprès d'autres boîtes. « Il manque plus qu'à attendre maintenant. » Knuckle prit un peu de coton et mit dans le bras de Giotto où le sang sortait. « Ah merci ! » Remercia Giotto un peu étourdi.

« C'est moi qui dois te remercier Primo ! » Dit Knuckle avec reconnaissance. Giotto sourit et ces leva tout en s'excusant mais qu'il devait faire la paperasserie et sortit.

Maintenant on retrouve Vongola Primo à se battre contre le pire ennemi que tous les Boss de la mafia doivent faire face… La paperasserie. Et non ce n'est pas une exagération, mais cet important car dans un bout de feuille la destiner de votre Famille se retrouve. Une négligence et la famille tombent en ruine ou il y a une guerre. Ce qu'aucun boss de la mafia voudrait et encore moins Vongola Primo qui n'aime pas la violence, ces pourquoi autant qu'il déteste et voudrait juste brûler ces horribles et monstrueux papiers que plus il signe plus se multiplient, il continuera à les signer.

Alors pourquoi d'un coup Giotto signe avec une vitesse inhabituel tout le tas de papiers ? La réponse est de ce qui ces passer hier soir…

/Tsunayoshi était assis sur le lit en balancent les jambes en attendant, Giotto ouvrit la porte et se mit à genoux devant lui. Il mit une main dans sa poche à la recherche de quelque chose et sortit une boîte en velours et la présenta à Tsunayoshi. Tsunayoshi ouvrit grand les yeux. ''C'est comme papa faisait en disant à maman si elle voulait être sa femme aussi cette année ! HIEEEEEEEE ! Taru-san va me faire aussi ça. JE SUIS UN MEC !' Et pourquoi il a cette boîte ? " pensait Tsunayoshi en gigotant. ''Pourquoi d'un coup j'ai l'impression que c'est une scène de demande de mariage ?'' Se demandait Giotto en remarquant l'air qui planait dans la chambre. (Ne te demande pas Giotto ! u.U. Moi-même je ne sais pas pourquoi j'ai écrit sa en premier lieu xD) Giotto ouvrit la boîte et regarda qu'elle fût vide… « Euh… Oui ? » Disait Tsunayoshi pas sûr de ce qu'il fallait dire. Giotto soupira et se leva, « Tu ne veux pas dire des informations à propos de toi et de cette boîte. » Giotto leva un sourcil. Tsuna secoua la tête. « Je ne dirais pas ! » il s'approcha pour reprendre la boîte mais Giotto juste leva le bras, Tsunayoshi sauté et même comme ça il n'arrivait pas à reprendre la boîte. Voyant qu'il n'arriverait pas reprendre la boîte il fit un regard noir qui ressemblait plus à une moue. Remarquant qu'il n'aurait pas de réponse Giotto sortit de la chambre\

C'est ce qui s'était passé en premier lieu mais la suite lorsqu'il avait parlé hier soir à ces gardiens même encore maintenant il est choqué…

/« Je n'arrive pas à avoir des informations à propos de lui ! » Déclara honteux Giotto avec la tête baisse. Ils étaient dans son bureau en train d'essayer de penser à une idée pour faire le gamin parler. Souligner bien le mot essayer car tout ce qu'ils avaient essayé n'avait marché et était tombé comme une pierre avec l'eau sur un puits. « Pourquoi on garde en même temps le gamin ? On peut bien le rendre dans un orphelinat non ? » Demanda Lampo, tous les gardiens le regardèrent et commencèrent à réfléchir déjà pour la raison voyant que Lampo avait plus au moins un point là-dessus. « Car je voulais l'adopter ! » Répondit exténuer Giotto. G le regarda et prononça les paroles qu'ils restent gravés dans sa mémoire « Primo… » \

''… Si ça continue comme sa tu ne l'adopteras pas ! Il n'a aucune confiance en toi et tu ne sais rien sur lui ! Je ne te le dis pas en tant que bras droit Primo. Je te le dis en tant que ton meilleur ami, si cela continue comme sa tu ne l'adopteras jamais Giotto.'' Les paroles de G restaient toujours dans la tête de Giotto, en y repensant à cela Giotto accéléra le rythme ce qui étonna G qui venait de rentrer sans que Giotto tellement concentrer ne s'aperçût pas.

Peut-être que personne ne le savait mais il était déjà attacher au garçon, il savait ce que le garçon traverser puisque lui non plus n'a pas eu de parents quand il était petit, sauf que lui n'avait pas vraiment été torturé avec des poisons mortels et d'autres choses dont ils n'avaient pas encore connaissance. Giotto avait toujours voulu une famille depuis enfant. ''Et ce rêve d'enfant je le réaliserais coûte que coûte !'' Et il accéléra la cadence. G regardait avec un regard triste son patron et ami d'enfance se battre contre le monstre de paperasserie pour avoir plus de temps à rester avec l'enfant. ''Tu as encore besoin de mûrir, tu resteras toujours un enfant Giotto !''

G s'approcha du bureau et siffla à la vue des tas de papiers diminués à une vitesse surprenante. Une fois tout terminer Giotto s'étira pour son dos qui était courbé pendant quelques heures. Il cligna des yeux en regardant G. « Tu as besoin de quelque chose G ? » Interrogea-t-il avec son poker-face. « Tu as terminé plus tôt que normalement et vu comment tu vérifier tout en signant les papiers c'était comme si tu n'avais plus de lendemains. Pourquoi cette précipitée ? » Questionna-t-il bien sachant la réponse. « Je voulais rester avec Yoshi ! » ''Je le savais… Attends… Yoshi ?'' « J'ai décidé de le surnommer Yoshi comme je ne sais pour l'instant son nom. » Comme s'il avait lu les penser de son bras droit il répondit à sa question tout en soulignant sur pour l'instant.

« Je vois… » Giotto se leva laissé par G continuer sa phrase. « Je vais vérifier s'il a mangé tout son petit-déjeuner. » Et il sortit. G gratta l'arrière de sa tête ''Il est en colère contre moi pour ce que je lui avais dit hier soir…'' Il regarda la porte où Giotto était sorti il y a quelques instants et soupira.

Giotto était en train de marcher vers la direction de la chambre de ''Yoshi" en fredonnant une chanson tout en pensent ce qu'il pourrait faire avec lui. ''Je pourrais juste faire ce que j'ai toujours voulu faire si j'aurais eu un fils ! Faire des piqueniques, raconter des histoires, regarder des étoiles, manger ensemble…'' il ouvrit la porte et faillit rire devant la scène.

Devant lui, le petit brunet était en train de manger tout en éparpillant partout une part de gâteau, lorsque Giotto ferma la porte le bambin se retourna vers lui et Giotto laissa un petit sourire dessiner sur son visage. L'enfant avait tout autour de sa bouche du chocolat et dans les joues, et même un peu dans la pointe de son nez.

Giotto prit un tissu qui se retrouver dans le plateau et nettoya le visage de son Yoshi. « Dites monsieur Taru… » Commença timidement Yoshi. « Oui ? » Yoshi continua. « Pourquoi vous êtes gentil avec moi ? » Demandait-il en mordillant sa lèvre inférieure. Giotto ne pouvait pas s'empêcher de penser que c'était mignon mais il arrivait à contrôler son envie de prendre le brunet et le serrer fort contre lui. (Quel contrôle ne soi-même ! Moi j'aurais plus de difficulté !)

À la place de tout cela il sourit et répondit. « Ces parce que je ne suis pas le genre de gens qui fera du mal à toi ! D'ailleurs je te les déjà dis-je te protégerais et je ferais tout mon possible pour que tu ne souffres plus et recommence ta vie ! »

Tsuna était surpris par la réponse de l'homme et il eut le sentiment, que Giotto ne mentait pas. Il avait espéré tellement pour une personne être comme son envers lui, il aurait espéré que cette certaine personne aurait le traiter comme Giotto le fait en ce moment. Il baissa sa tête pour pas que Giotto voit son visage presque au bord des larmes. « Si seulement lui étaient comme ça… » Chuchota-t-il assez bas pour que Giotto n'entende pas mais Giotto l'entendu.

« Et si on allait dans mon jardin ? » Proposait-il pour enlever la tristesse que l'enfant avait. Tsunayoshi releva sa tête. « Un Jardin ? » Giotto hocha la tête. « J'ai plusieurs jardins puisque la maison elle-même est grande mais on peut aller se promener et… » Il fut coupé par un Tsunayoshi qui sautillait tout en chantant des « Je veux aller ! Je vais aller dans un jardin ! »

Les yeux de Giotto se radoucit face à l'énergie et à l'excitation de l'enfant. « Bon alors on y va te chercher des vêtements ? » Il reçut juste un hochement et un sourire brillant. ''Il devrait sourire encore plus… Je vais protéger se sourire !'' Il tendit sa main à l'enfant qui lui prit aussitôt et sortirent de la chambre.

Si les gardiens était surpris cela était enfaite un petit mot, s'ils étaient au-delà du choc de voir leurs Boss avec l'enfant sa aurai été la plus proche de la vérité. Ils le suivirent et se retrouvèrent devant la chambre de Giotto. « Qu'est-ce que ? » se demandait G. « Ma, ma ! Giotto sait ce qu'il fait ! Laissons-les seuls ! » Et ainsi ils se séparèrent.

Giotto était assez content, il avait fait que l'enfant n'a plus peur de lui et ils allaient se promener dans le jardin. Il choisit des vêtements pour l'enfant, un t-shirt vert et un short marron et les tendirent à l'enfant qui les prit et se dépêcha de les mettre tout en enlevant son pyjama. Riant des singeries du petit, Giotto aida l'enfant.

« Pourquoi es-tu si excité ? » Demandait-il curieux. « J'avais vu un peu du jardin par la fenêtre et j'ai toujours voulu y jouer… » ''Est-ce pour cela qu'il regardait toujours par la fenêtre ? Non, mon intuition me dit qu'il y a autre chose.'' « Je vois. »Il juste dit cela avec un sourire. Une fois que Tsunayoshi était prêt ils sortirent de la chambre de Giotto et se dirigèrent vers le jardin.

« Enfaite maintenant que j'y pense… Je ne sais pas encore comme tu t'appelles ! » Tsunayoshi regarda Giotto et mit son index dans sa lèvre inférieure comme s'il était en train de penser. « Je vais vous dire mon nom de famille dans ce cas ! » Giotto clignota des yeux. « Et pourquoi pas ton nom complet ? » demandait-il. « Parce qu'au Japon les gens appellent l'un et les autres avec leurs prénoms juste s'ils sont très proches ! » Répondit Tsunayoshi comme si c'était la chose la plus logique. « Ah ! » Fut la seule chose que Giotto pouvait dire.

« Mon nom de famille est Sawada… » Notant la tristesse dans sa voix Giotto ébouriffa les cheveux de Tsunayoshi. ''Si doux…'' Pensait-il étonner par la douceur des cheveux. « Monsieur Taru-san ? » Giotto lui donna un sourire. « Appelle Giotto ! Je ne suis pas si vieux que ça ! » Tsunayoshi lui donna un petit sourire –Mignon- « Dja1… Giotto-san ? » « Ces mieux que Monsieur Taru mais sans suffixe, pas de Giotto-kun ni de Giotto-san ! Et encore moins Giotto-chan s'il te plaît ! »

« Mn, dja Giotto ! » Et ils se sont mis à marcher plus vite pour atteindre le jardin. Pendant tout le chemin Tsunayoshi était en train d'admirer les tableaux, les vases, sculptures et dessins. Eh bien, c'était la première fois qu'il sortait de la chambre après tout. La plupart des tableaux étaient des paysages, les vases avaient toujours l'air très cher mais étaient beaux, les dessins qui décoraient les murs étaient faites soigneusement et brillaient.

« Suis-moi bien où tu vas te finir par te perdre Sawada ! » Averti Giotto voyant que l'enfant rester à regarder son entourage à marcher sans faire d'attention où il marchait. Tsunayoshi accéléra le rythme de ces pas pour ne pas se perdre. En quelques minutes ils se retrouvèrent dans un énorme jardin.

Le jardin était plus que géant. Tsuna ouvrit grand la bouche tout en laisse un « Oaa ah~ » sortir. Il lâcha la main de Giotto et se mit à courir dans tout le jardin pendant que Giotto restait quelques instants cloués au sol et se mit à courir après le petit brunet. Et sans se rendre compte, les deux on commencer à jouer a plusieurs jeux, tout comme le ''chat'' et ''cache-cache''.

La nuit s'approcha et Giotto pris dans ces bras un Sawada épuiser pour tout ce qui s'est passé, il respirait avec la bouche ouverte et avait quelques perles de sueur sur son visage (Vous êtes en train d'imaginer quoi ? Big Smile*) Giotto commença à marcher tout en transportant le petit. ''Aujourd'hui… C'était assez amusant. J'ai bien fait d'avoir proposé d'aller au jardin et d'avoir fini toute la paperasserie !'' Pensa fièrement Giotto.

Ils traversèrent une forêt entière jusqu'à arriver dans une colline loin du jardin mais pas très éloigné du manoir. Giotto posa Tsuna et s'assit à côté de lui –Tsuna s'éloigna de lui disant que c'était trop près- et commença à regarder les étoiles avec un silence gênant. Alors que Tsuna regardait les étoiles Giotto l'observèrent. Des cheveux hérissaient tout comme lui sauf marron, des yeux marron caraméliser teinté d'innocence et pureté. Finissant de faire une observation (Le chapitre deviendrait trop long donc je mettrais au fur et à mesure des chapitres un peu l'observation de Primo envers Decimo !) il se mit à observer lui aussi le ciel étoiler.

Tsuna lui examinait Giotto pendant que celui-ci regardait les étoiles. Malgré sa naïveté et pour un si jeune âge, Tsuna savait une chose. Cet homme blond qui mystérieusement lui ressembler émet une aura qu'il a toujours voulu sentir, un sentiment qu'il recherchait depuis longtemps. Une aura paternelle est l'attention. Non pas qu'il critique sa mère qui lui donner de l'attention, le problème est que sa mère même lorsqu'elle le regardait elle ne savait pas vraiment ce qu'il voulait et ce qu'il aime.

Pour être un bon fils envers sa mère qui était seule il faisait de son mieux en ne se plaignent pas, mais il se sentait seul en même temps. Quant à l'aura paternelle certes il avait un père mais il était rarement présent à la maison, et il ne faisait que dormir, manger et boire. Herck. Il était même sûr que son père savait rien sur lui miser à part qu'il était son fils. ''S'il le savait que j'étais son fils…''

Tsuna a toujours voulu une personne qui savait ce qu'il voulait et comment il se sentait, et il avait l'impression que cet homme savait comment il se sentait. Il aimait être avec cet homme et il se sentait en sécurité. Il faisait confiance à cet homme depuis le début que cette personne commençait à venir le visiter et lui parler. C'était juste qu'il fût trop timide et il avait peur… Peur de se faire blesser.

Gagnant un grand courage et une forte volonté Tsuna remurmura ce qu'il avait dit ce matin. « Tsunayoshi ! ». Giotto se retourna surpris pendant que Tsuna lui regardait avec des yeux remplis de détermination. « Pardon ? Ta dite quelque chose ? » Les yeux de Tsuna étaient entouré d'un orange. « Tsunayoshi… Je m'appelle Sawada Tsunayoshi ! »

Giotto était ébahi lorsqu'il comprit ce que l'enfant avait dit. « Soka… Tsunayoshi ces ça ? » Tsuna hocha la tête avec l'orange disparu de ces yeux comme s'il n'avait jamais été là. « Dans ce cas… Laisse-moi te redire cela correctement ! » Exclama Giotto laisse Tsuna avec un air perdu.

« Bienvenu a la famille Vongola Tsunayoshi ! » Dit-il avec un sourire accueillant. Les yeux de Tsuna s'agrandirent en réalisation de la signification des mots. Et pour la première fois depuis si longtemps Tsuna donna un vrai sourire de tout son cœur qui était lumineux en fermant les yeux et, se jeta dans les bras de Giotto. « Merci ! » Et il laisse des larmes de joie couler de ces yeux.

Giotto tapota le dos de Tsuna. « De rien ! Désormais tu fais partie de la famille Vongola ! » Tsuna hocha la tête ne sachant pas la signification de cela. Giotto sachant cela embrassa le front de Tsuna et le fit s'assoir plus à côté de lui dans l'herbe. Tsuna se mordit la lèvre inférieure et Giotto lui donna un air interrogateur. « Oui ? » « Giotto… Pourquoi vous m'avaient posé tant de questions à propos de moi ?» Disait Tsuna avec plusieurs questions dans sa tête. Giotto sourit et regarda le ciel.

« Pour apprendre à se connaitre ! » Et le vent souffla.

Tsuna sourit à cette réponse. « Donc nous allons apprendre plus sur l'un l'autre ! » Ils se regardèrent silencieusement et se mirent à rire.

''Mon rêve ces exaucer je ne suis plus seul ! Et qui sait il pourrait devenir mon père !'' Pensa Tsuna heureux pendant que Giotto lui chatouillait. ''Mon rêve est en train de s'exaucer, même s'il ne deviendra pas mon fils adoptif… Je le traiterais comme mon propre fils !'' Songeait Giotto.

''Oui… Car ces justes le début d'une histoire !'' Pensèrent ensemble.
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1/Dja peut signifier "Donc" en japonais !